Une équipe qui gagne

La main à la pâte

Nos bières sont artisanales. Tout est fait à la main, pas n’importe lesquelles et on veille à bien se les laver avant de brasser.

Marion et Yaël

Elle : supporte le brasseur (c’est déjà beaucoup), lave les bouteilles, fait de la pub, goûte tout et râle quand c’est pas bon (on ne l’a jamais entendu râler) et en plus elle tient bien les tuyaux.
Lui : Il fait tout le sale boulot mais pas très longtemps. Laver les bouteilles, coller les étiquettes, capsuler, etc. Et en plus il n’est même pas payé pour ça !

Yves

Il est brasseur aussi mais plutôt dans le whisky. C’est lui qui assure le support utilisateur pour le site internet. « C’est pas une mince affaire vu le niveau du brasseur » dit-il. Personne ne sait pourquoi c’est aussi compliqué. « C’est intuitif » à ce qu’il dit… C’est aussi une grande source d’inspiration pour le brasseur, coeur avec les doigts !

Léonard

C’est le brasseur. Il se lève la nuit pour voir si ça ferment bien. Il grimpe partout et : « ça lui fait un bon petit boule » selon Marion. Il a déjà sauvé la planète deux fois. Mais puisque depuis tout va bien, il préfère brasser une bière locale, bio, en circuit court. En plus il vote à gauche… Il a travaillé chez les meilleurs : Brasserie du jugement dernier (Allier), Matten (Bas-Rhin), G’Sundgo (Haut-Rhin), Neulich (Berlin), Brasserie du cyclone (La Réunion), la Mafataise (Mafate), etc.

Luc

Il est loin mais on pense à lui quand même. Il dirait si on lui laissait la parole : « C’est moi qui ai tout appris à Léonard ». Comment il se la pète… Mais c’est pas faux, il est à l’origine du premier brassin à Mayotte en 2010 et c’était pas une mince affaire à l’époque.

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